Prendre un avion comme un VTC ou un covoiturage

Vous souhaitez voyager autrement et profiter d’un vol en avion comme vous prendriez un VTC ou un covoiturage ? L’idée est relativement récente et désormais cadrée par la loi. Un durcissement des règles a été nécessaire suite au lancement de plusieurs plate-formes dans ce secteur.

Quelles sont les plate-formes de coavionnage ?

Que cela soit COAVMI, Wingly ou encore Wingshare qui se réclament plate-forme de coavionnage, toutes aimeraient devenir le futur Uber ou Chauffeur Privé de référence du secteur.

cessna

La direction générale de l’aviation civile (DGAC) a mis des règles sévères pour garantir la sécurité de ce type de transports en instaurant des conditions précises pour ces vols.

Le but est de ne permettre ce type de proposition uniquement aux pilotes privés expérimentés et aux professionnels. L’objectif n’est pas de bloquer le développement de ce type de service, mais de garantir que le pilote puisse « gérer des situations dégradées, dans la planification et la réalisation du vol ».

Les conditions pour être pilote

D’après les règles de la direction générale de l’aviation civile, quand on propose des vols circulaires de moins de 30 minutes entre le décollage et l’atterrissage (l’avion ne sera pas à plus de 40 kilomètres de l’aérodrome), le pilote en question doit avoir réalisé au moins 200 heures de vol suite à l’obtention de sa licence de pilote, mais également 25 heures de vol dans l’année.

Information découverte via les réseaux sociaux.